Histoire

Malgré des années d'innovations impressionnantes et de succès technologiques, la pauvreté continue de frapper l'Afrique. Les jeunes filles sont les plus touchées. Les produits d'hygiène sont les premiers produits supprimés des foyers, ce qui perpétue les inégalités entre les sexes. Sans hygiène intime, les filles ne peuvent plus aller à l'école, ce qui leur fait manquer jusqu'à un quart de l'année scolaire et les prive de tout enseignement, les laissant ainsi à la traîne.

Impact

En permettant aux enseignants et aux filles elles-mêmes d'acquérir les compétences nécessaires à la fabrication de serviettes hygiéniques réutilisables, le projet s'inscrit dans une démarche durable, au lieu de se limiter à l'achat de serviettes hygiéniques, qui représenterait un coût récurrent. Ces compétences seraient transférables et pourraient contribuer à d'autres initiatives génératrices de revenus. De plus, le projet permet de mieux comprendre la réduction de la consommation, le recyclage et la préparation au changement climatique, tout en contribuant à briser la stigmatisation associée aux menstruations.

Défi

Il existe plus de solutions que jamais sur le marché en matière d'hygiène intime. Pourtant, faute de financement, les filles africaines continuent de souffrir pour des raisons aussi anodines que le manque d'hygiène intime adéquate, un produit ménager souvent absent en période de pauvreté. Par conséquent, elles sont fortement stigmatisées et peuvent manquer jusqu'à un quart de l'année scolaire, ce qui entretient les niveaux élevés d'inégalités entre les sexes et de pauvreté au Zimbabwe.

Organisateur

Mises à jour

Les mises à jour apparaîtront une fois que le créateur de la campagne les aura publiées