Histoire

Le projet HUG Thaïlande vise à prévenir, protéger et réhabiliter les enfants victimes d'abus sexuels et de traite d'êtres humains. En collaborant avec la police, les écoles, les communautés, les familles et les enfants eux-mêmes, HUG contribue à rendre justice aux auteurs d'abus sexuels sur enfants et à guérir les survivants. Sa fondatrice, Boom Mosby, a été reconnue par le Département d'État américain comme une HÉROS de la lutte contre la traite des êtres humains (première femme thaïlandaise à recevoir cet honneur) et par Vital Voices comme une figure emblématique des droits humains.

Impact

En tant que membre actif du groupe de travail TICAC (Thailand Internet Crimes Against Children), du groupe de travail TATIP (Thailand Anti-Trafficking In Persons) et du système CACT (Children's Advocacy Center Thailand), HUG a soutenu plus de 200 cas (notamment de pornographie infantile, d'abus sexuels sur mineurs et de traite des êtres humains). De plus, l'équipe HUG a personnellement accompagné plus de 100 survivants vers leur rétablissement. Compte tenu de la nature mondiale de ces crimes, leur impact potentiel peut atteindre des milliers d'enfants.

Défi

L'exploitation sexuelle des enfants continue de se développer de manière exponentielle dans le monde entier, touchant des victimes de plus en plus jeunes et une violence de plus en plus extrême. (NY Times, septembre 2019). Cette horreur est particulièrement répandue en Asie du Sud-Est, où les auteurs orchestrent et regardent les abus sur des sites de streaming en direct. (The Asean Post, mai 2019). Le projet HUG est particulièrement bien placé pour provoquer des changements, tant sur le terrain qu'au niveau politique, en Thaïlande, afin de condamner les auteurs et de prendre en charge les survivants.

Organisateur

Mises à jour

Les mises à jour apparaîtront une fois que le créateur de la campagne les aura publiées