Histoire

Nous fournissons des semences de légumes et un soutien aux femmes pour qu'elles puissent cultiver leurs terres ! Les agricultrices produisent plus de la moitié de la nourriture des pays en développement, mais possèdent moins de 2 % des terres et reçoivent peu de soutien, notamment en semences, outils et connaissances. Nous nous associons aux efforts de jardinage des femmes dans les pays les plus pauvres du monde, comme Madagascar, le Guatemala, le Libéria et le Kenya. En fournissant des semences de légumes de qualité supérieure et un soutien local, les femmes peuvent accéder à l'autonomisation, aux revenus et à la nutrition.

Impact

Les semences et le savoir ont ceci en commun : ni l'une ni l'autre ne sont des ressources consommables et uniques ; toutes deux peuvent être multipliées et transmises. Les partenariats SPI contribuent à orienter les populations vers des solutions locales. Par exemple, les femmes peuvent créer de petites entreprises de semences pour distribuer des semences achetées localement dans les bourgs ou les capitales. Une fois qu'une communauté est dotée de connaissances clés en nutrition, jardinage, marketing et préparation des aliments, le jardinage maraîcher peut devenir une habitude durable.

Défi

« La persistance de la faim au cours de cette décennie est moralement et socialement inacceptable », déclarait John Kennedy en 1963. Cinq décennies plus tard, la malnutrition tue 2,6 millions d'enfants de moins de 5 ans chaque année. Les femmes sont les mieux placées pour sauver ces vies, si elles en ont les moyens. La plupart des agricultrices cultivent des cultures de base comme le maïs et le manioc – qui nourrissent le ventre, mais ne fournissent pas les nutriments nécessaires à un esprit et un corps sains. À Madagascar, par exemple, le revenu est de 78 centimes par jour – ici, nos semences sont porteuses d'espoir.

Organisateur

Mises à jour

Les mises à jour apparaîtront une fois que le créateur de la campagne les aura publiées